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Unions between French and Indians nourished the daily life of New France. Whether “free” liaisons or “concubinage,” Christian marriages blessed by missionaries, or marriages “in the manner of the country” (that is, according to Indian ritual), mixed unions were favored for many reasons. French policy encouraged intermarriage throughout the 17th century, but not in the following century. In attempting to integrate Indians into French society, this policy compensated for the lack of European women and built on the propensity of the chiefs to marry their daughters to French merchants. Franco-Indian children, usually raised by their mother, assimilated into Indian society. In the interior of the continent, although the missionaries denounced consorting with Indian women, many military officers and coureurs de bois did so. Indian women were equally valued for the services they provided, such as food preparation, clothing manufacture (mocassins, leggings, belts, and so on), the harvest of medicinal herbs, and the preparation of hides.
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Le Métissage | |||||
Les alliances franco-indiennes
Les Français et l’Amérique du Nord après le traité de Paris (1763-1803) La France en Amérique: Chronologie |
Les unions entre Français et Indiennes ont nourri le quotidien de la Nouvelle-France. Qu’il s’agisse de liaisons « libres » (ou « concubinages »), de mariages chrétiens bénis par les missionnaires ou encore de mariages « à la façon du pays » - c’est-à-dire selon le rituel indien -, ces unions mixtes ont été favorisées par plusieurs facteurs. D’abord la politique française : l’intermariage a en effet été encouragé tout au long du XVIIe siècle (mais pas au siècle suivant) par les autorités coloniales. Il s’agissait de pallier le manque de femmes blanches et d’intégrer les Indiennes dans la société française. Ensuite l’hospitalité sexuelle qui régnait dans la plupart des villages autochtones, et la propension des chefs à marier leurs filles à des marchands français. Dans l’intérieur du continent, la fréquentation des Indiennes, dénoncée par les missionnaires, était tout à fait habituelle pour les militaires et les coureurs de bois. Ces derniers, enfin, appréciaient d’autant plus d’avoir des concubines indiennes qu’elles leur offraient des services appréciés : préparation de la nourriture, confection de vêtements (mocassins, mitasses, ceintures, etc.), cueillette des herbes médicinales ou encore préparation des peaux. Les enfants métis, généralement élevés par leur mère, s’assimilaient à la société indienne.
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