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Newtown : Armes à feu

Vendredi 21 décembre 2012 à 11 h 25 | | Pour me joindre

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Dans le reportage rappelant des tueries aux États-Unis, il est dit que le tireur de la fusillade d’Aurora au Colorado, possédait un fusil semi-automatique capable de tirer 60 coups à la seconde. C’est une erreur. La version automatique de la même arme ne peut tirer plus de 15 projectiles à la seconde.

 

Des images ont été utilisées de bonne foi dans un récit télévisuel de Luc Chartrand diffusé le 15 novembre dans certains de nos Téléjournaux et bulletins de nouvelles à la SRC et à RDI.

L’agence de presse Reuters ne peut, après coup, établir clairement la source de certaines images parmi celles offertes à ses abonnés le 14 novembre 2012.

On y voit, après une explosion, un Palestinien étendu par terre, semblant blessé, ramassé par des compatriotes et évacué. Quelques secondes plus tard, on voit le même homme, debout et bien portant, qui aide d’autres Palestiniens à fuir les lieux.

Interrogée par le réseau CNN, l’agence Reuters n’a pas pu établir la provenance de ces images.

Nous ne le pouvons pas non plus. En conséquence, nous n’utiliserons plus ces images à notre antenne.

Dans ce Téléjournal, un récit sur les tensions entre Israël et la Syrie fait état d’un avion de chasse israélien qui a bombardé des cibles en Syrie près de la frontière turque. Après vérification, il s’agissait plutôt d’un appareil des forces armées syriennes.

Téléjournal du 21 septembre 2012

Dans la nouvelle brève sur la décision de débrancher Bébé M, il est mentionné que les parents sont de religion musulmane, sans autre explication.

Il aurait fallu préciser, comme ce fut le cas dans les reportages précédents sur le même sujet, que les parents avaient eux-mêmes invoqué devant le tribunal leur appartenance à la religion musulmane pour plaider le fait que leur enfant puisse continuer d’être maintenue en vie artificiellement.

Nous avons pris bonne note des réserves exprimées par l’ombudsman quant au libellé des manchettes utilisées sur  nos différentes plateformes pour annoncer ou résumer la teneur de certains reportages. La brièveté d’une manchette peut donner lieu à differentes perceptions quant au sens d’une nouvelle. Des mesures sont prises pour limiter ce risque à l’avenir.

La Direction générale de l’information

 

 

Certaines images d’une vidéo amateur montrant un incident, à Montréal,  qui impliquait un chauffeur de taxi et des jeunes, ont bouleversé plusieurs téléspectateurs, en dépit d’un avertissement qui prévenait que les images étaient difficiles à regarder.

Ces images ont pu être vues au Téléjournal de fin de soirée le 30 avril.  Certaines de ces images, en plan rapproché, n’auraient pas dû être diffusées. Nous comprenons qu’elles aient pu choquer des téléspectateurs et nous regrettons leur diffusion. La direction entend exercer une vigilance accrue à l’égard de telles images.

Au cours de l’émission 24 heures en 60 minutes du 29 février, l’expression « révérend noir » a été utilisée pour annoncer, plus tard dans l’émission, une entrevue d’Anne-Marie Dussault  avec le révérend Jesse Jackson, défenseur des droits civiques aux Etats-Unis.
Dénué d’intention malveillante, le qualificatif « noir » était toutefois inutile.
Nous regrettons que certains téléspectateurs y aient vu une connotation raciste.

Radio-Canada.ca
Riadh Ben Aïssa

Vendredi 13 janvier 2012 à 10 h 55 | | Pour me joindre

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Radio-Canada laissait entendre sur son site que M. Ben Aïssa, ex-employé de SNC-Lavalin, aurait aidé Belhassen Trabelsi, installé au Canada depuis le renversement du régime Ben Ali en janvier 2011. M. Ben Aïssa a émis un communiqué (voir texte ci-dessous) niant formellement l’existence de tels rapports avec M. Trabelsi, ajoutant même qu’il ne connaissait ni de près ni de loin le beau-frère du président Ben Ali. Radio-Canada, faute de nouvelles corroborations, a choisi de retirer l’article de son site.

Extrait du communiqué :

« M. Ben Aïssa n’a jamais parlé, ni même rencontré M. Trabelsi. Il ne connaît tout simplement pas l’homme en question. Par ailleurs, en aucun temps il n’a discuté avec un employé de SNC-Lavalin, Kébir Ratnani, du sort des membres de la famille Ben Ali ou de leurs biens. Ainsi, il va sans dire qu’il n’aurait pu apporter une quelconque aide, directe ou indirecte, à M. Trabelsi et ce, dans quelconque circonstance.

Par ailleurs, il importe de mentionner que M. Ben Aissa n’a pas été congédié par SNC-Lavalin, mais que la direction de SNC-Lavalin a plutôt accepté par écrit la démission de M. Ben Aïssa, jusqu’alors vice-président directeur et membre du Bureau du Président de la firme. »

Dans ce reportage, Ginette Lamarche évoque la création de l’État d’Israël en 1948 et parle de la Nakba. Il faut savoir qu’il s’agit d’un mot arabe signifiant catastrophe. Les Palestiniens utilisent ce mot pour qualifier la création d’Israël.

Dans son reportage sur les affrontements qui ont eu lieu entre l’armée israélienne et des manifestants palestiniens à la frontière entre la Syrie et Israël, la journaliste Ginette Lamarche a mal rapporté certains propos d’un colon juif qui lui accordait une entrevue sur la situation tendue qui prévalait à la frontière.

La direction reconnait que le colon a été mal paraphrasé lorsque la journaliste a dit dans son reportage que «l’armée a peut-être tiré à balles réelles sur des civils qui manifestaient pacifiquement, si c’est le cas elle n’a fait que son devoir, soutient Maurice.» La journaliste aurait plutôt dû dire que Maurice considère que l’armée a fait son devoir en tirant sur des gens qui tentaient de «forcer» la frontière.

Il s’agit d’une différence significative et nous nous excusons de cette erreur. Le titre du reportage qui reprend les propos du colon est donc aussi erroné.

Révision de l’Ombudsman du 24 novembre 2011