Gabriele s’est déclaré « dégoûté » par le « mal et de la corruption » dans l'Eglise et affirme avoir agi par « amour viscéral » pour cette dernière et son chef sur la Terre.
La police soupçonnait que l'attentat de septembre, qui avait fait un blessé, était le fait d’extrémistes musulmans.
Il s'agissait de la deuxième rencontre au niveau des chefs d'Etat et de gouvernement de ce forum euro-méditerranéen lancé à Rome en 1990.